Rouler pour rouler et être interrompue

Publié le par Josianne et Julie

Voilà! C'est la suite de l'autre. Comme le dit si bien le titre du film « le secret est dans la sauce » le « secret est maintenant dans le titre »! Tout y est dit! On pourrait très bien y résumer le récit que vous trouverez dans les prochaines lignes! Pas que ça nous fasse particulièrement plaisir, bien au contraire.... Laissez-nous reprendre là où nous étions dans notre dernier texte.

En route pour Mungo national park, on s'est couchées à la suite de notre repas un peu trop santé à notre goût. Le lendemain nous avons donc repris notre chemin sur une route perdue entre deux lointaines bourgades. Pour nous accompagner, quelques rares arbustes, un soleil ardent, une route à perte de vue et un horizon embrouillé par la chaleur se répercutant à la surface de la terre. Bref, un décor à la Luke et Luke, à l'exception seule que nous sommes bien confortablement assises dans la grosse doudoune.

Nous venions de dénicher une douche gratos:) Dieu merci, après plusieurs jours sans se laver, on commençait, Julie et moi, à être un peu irritées par n'importe quoi. C'est bien souvent là le signe qu'il nous faut un changement drastique dans notre vie : sois une douche, sois un sac de jujubes, soit des biscuits aux pépites de chocolat ou soit une vraie bonne nuit de sommeil... Bref, ce matin-là, l'origine de nos petites irritations quotidiennes avait été enrayée à notre plus grand bonheur sous un jet chaud.... Et oui.... un jet chaud.... car, eux aussi, ils sont plutôt rarissimes... Plus souvent qu'autrement, on doit serrer les lèvres, serrer les fesses et retenir sa respiration le temps de passer sous le jet froid de la douche.

Nous voilà donc confiantes d'arriver à notre prochaine destination quand un bruit inconnu et suspect se fait entendre à basse vitesse. Au moins, à plus haute vitesse, on ne l'entend pas. Continuons donc et nous ferons vérifier le tout quand on arrivera. Oups... le bruit se fait de plus en plus entendre.

Julie : eeee le bruit est de plus en plus fort

Jo : ohhhhh nonnnn... ahhhh shitttt t'as raison. Continue un peu et si ça s'intensifie on va s'arrêter.

Julie : ça sent bizarre Jo, tu trouves pas?

Jo : eeee ouaisss...

Jo : ça commence à sentir le brûlé

Jo et Julie : ahhhhhhhhhhhh ça sent le brûlé

Jo et Julie : aaaaahhhhhh my god, y a de la boucane qui sort de sous le capot!!!!!

On s'arrête alors en vitesse sur le bas côté et on sort en catastrophe de l'auto... On ne sait jamais quand ça peut prendre en feu ces patentes-là! On a d'ailleurs vu ça à Sydney l'autre jour quand des backpackers comme nous sont tombés en panne, sortant précipitamment de leur auto en feu!!!! La boucane ayant diminué grandement en quelques minutes, Julie, puisant dans sa bravoure s'est approchée et a soulevé le capot... Rapidement, elle a mis le doigt sur la pièce fautive montrant à Josianne d'où sortait la boucane... Ça sentait le roussi là-dedans, mais pas de signe d'incendie... C'est au moins ça de gagner! Bon, l'auto repart bien, mais fait un bruit d'enfer et souffle toujours une boucane importante alors vaut mieux ne pas l'importuner et la laisser tranquille!

On s'est donc mis en quête d'un towing en nous connectant à internet. On a bien voulu réussir à en avoir un, mais au bout du fil, on nous répondait que ça allait nous coûter les yeux de la tête! On nous dit donc de s'abonner à une road assistance et de mandater ces derniers pour venir nous chercher. Jo prend donc le cellulaire et s'attelle à appeler pour devenir membre de l'une des assurances routière du pays. Tout ça sous un soleil de plomb... Se faisant alors trimbaler d'une ligne à l'autre et après avoir eu le temps d'écouter presqu'en entier une émission de radio en sourdine, le membership est fait à prix fort!!!! Où est-on maintenant, que demande à Josianne la petite madame à l'air climatisée du service à la clientèle! (On vous rappelle que tout ça, là... les conversations, les explications de « on est en panne cibole, venez nous chercher quelqu'un » se passe dans un anglais plus qu'approximatif et avec une compréhension limitée de leur maudit anglais britannique encore moins compréhensible qu'une vache en Alaska! Bref, après s'être minimalement comprises, la madame nous dit que quelqu'un devrait venir d'ici 1 heure. 1 h45 minutes plus tard, voilà enfin le pick-up jaune, notre sauveur! En moins de quelques secondes, il nous diagnostique un alternateur sauté et nous dit qu'il doit amener un véhicule à la ville la plus proche (et qu'il ne peut donc pas nous amener avec lui) mais qu'il peut aller s'informer pour le coût d'un alternateur (même s'il nous ramène plus tard à un garage, on devra attendre deux jours dans la cour de ce dernier puisque nous sommes samedi!). Il nous dit donc de l'attendre et qu'il reviendra dans 1 heure. 1H30 plus tard, on commence à se dire qu'il nous a oublié là et on s'apprête à rappeler quand on le voit finalement qui se pointe à l'horizon. Il nous mentionne alors qu'il peut aller à l'autre ville la plus proche chercher un alternateur neuf (à 300$) et nous le poser sur le bord de la route. On accepte donc et il nous dit, à notre grand désarroi, qu'il sera de retour dans 2 heures! Au secours!!!!! Car ce 2 heures-là, tout comme toutes les autres depuis le début de notre mésaventure, on les passe coincées à deux sur la banquette arrière, bien à l'abri des mouches à marde qui sont, ma foi, vraiment très très très nombreuses et collantes en zone rurale sèche!!!!!! Alors, on oublie ça sortir de l'auto pour prendre de l'air ou se dégourdir les jambes!!!! Vaut mieux faire ça dans l'auto! Coincées oui, mais à l'abri! On mange donc quelques craquelins en buvant un petit verre de vin (bin quoi???!!!!!!! même si la police passe (chose qu'elle a d'ailleurs déjà fait sans nous prêter main forte alors que notre capot ouvert était visible à des milles à la ronde), on s'en fout... on a de quoi lui prouver qu'on ne risque certainement pas de conduire à court terme!!!!!! On s'écoute donc un petit film et quelques émissions quand notre sauveur revient! Quelques coups de clés à molettes, voilà que 15 minutes de travail sous l'oeil avisé des mouches met fin à un calvaire de plusieurs heures!

1-Route désertique 2-Notre sauveur ;)
1-Route désertique 2-Notre sauveur ;)

1-Route désertique 2-Notre sauveur ;)

On a donc ainsi pu reprendre notre route.... éreintées comme si nous avions monté l’Everest pour un dodo immédiat! On était tout de même contente que ça nous soit arrivé à une relative proximité de bourgades plutôt qu'au milieu des nombreux déserts! Ce soir-là, malgré les événements de la journée, nous nous sommes couchées tout de même excitées à l'idée d'aller visiter le mungo national park, un superbe désert! C'est d'ailleurs pour ce dernier que nous avons fait ces quelques 300 km de détour!!! Le lendemain donc, nous nous sommes rendues à l'info tourisme où ont nous a informées que pour y aller, un 56 km de chemin de gravel nous attendait. À 20 km/h là-dedans, Julie et mois nous nous sommes regardées estomaquées et plus trop certaines de notre destination. Nous ne sommes quand même pas en 4x4 et malgré sa bonne volonté, quand nous empruntons de courtes distances sur chemin graveleux, la grosse doudoune « shake » de partout!!!!! La promesse d'un beau gros 56 km dans ces conditions a donc quelque peu refroidit nos ardeurs... jusqu'à nous faire abandonner notre objectif... Bon, un peu tristounettes, mais certaines de notre choix prudent, on s'est consolées en se disant que le paysage du parc montré dans les brochures touristiques s'apparente quand même à du déjà vu américain. Nous avons donc rapatrié nos pénates et sommes revenus sur le même chemin que notre mésaventure de la veille!!!! Quelle histoire quand même! Tous ces kilomètres pour rien... Et là, vous nous direz sûrement qu'au nombre de visitor center croisé, on aurait pu être au courant de ça. On vous répondrait alors qu'ici, les informations touristiques d'un état n'en ont strictement rien à faire de l'état voisin et d'en documenter leurs attraits. Étant depuis un petit bout dans un autre état que le Mungo national park, on n'avait pas vraiment moyen de le savoir, ni de le googoler puisque le wifi se fait, vous le savez, très rarissime....

1-3 Dunes de sable au beau milieu d'une petite bourgade avant Mungo national park
1-3 Dunes de sable au beau milieu d'une petite bourgade avant Mungo national park
1-3 Dunes de sable au beau milieu d'une petite bourgade avant Mungo national park

1-3 Dunes de sable au beau milieu d'une petite bourgade avant Mungo national park

De retour à notre point de départ, nous avons alors fait le plein d'eau, avons changé la batterie qui se faisait vieille (pas question de tomber de nouveau en panne au beau milieu de nulle part) et avons entrepris un 6 heures de route désertique à destination de Coober Pedy, un bled au beau milieu de mines d'opales. C'est d'ailleurs l'un des endroits qui fournit plus de 90% des opales du monde. Là-bas, il y fait tellement chaud que les gens vivent dans des dugouts (des maisons sous terre) pour fuir la chaleur torride et les nuits glaciales du désert. On était vraiment excitées!!!!

En chemin, de nombreuses pancartes nous préviennent du danger de la fatigue au volant et de la présence d'animaux sur la route. Et effectivement... nous y avons croisé des émeus pas trop trop stressés et des vaches ayant décidé de passer leur chemin au beau milieu de la route! Au fait, Julie s'est découverte une nouvelle fixation animale, les émeus! À vrai dire, soit c'est vraiment une nouvelle passion, soit c'est plutôt qu'elle cherchait à égayer la longue, très longue route monotone!!! Ah... nous avons aussi croisé des aigles majestueux se régalant d'un bon steak de kangourou gisant sur la route... Arrêtant dormir aux abords d'un lac salé asséché, nous avons soupé, puis sommes partis nous promener sur ce dernier. Vraiment de toute beauté!!!! La nuit fut fraîche, étoilée et le lever de soleil encore plus magnifique! Nous avions positionné l'auto pour que le matin, toujours étendues dans l'auto, nous puissions nous réveiller à la lueur de ce dernier :)

1-2 Exemples de pancartes que l'on retrouve régulièrement sur le bord de la route 3-5 Lac salé désèché 6-Julie en préparation du souper 7-coucher de soleil sur un fond désertique 8-Les émeus sur la route
1-2 Exemples de pancartes que l'on retrouve régulièrement sur le bord de la route 3-5 Lac salé désèché 6-Julie en préparation du souper 7-coucher de soleil sur un fond désertique 8-Les émeus sur la route
1-2 Exemples de pancartes que l'on retrouve régulièrement sur le bord de la route 3-5 Lac salé désèché 6-Julie en préparation du souper 7-coucher de soleil sur un fond désertique 8-Les émeus sur la route
1-2 Exemples de pancartes que l'on retrouve régulièrement sur le bord de la route 3-5 Lac salé désèché 6-Julie en préparation du souper 7-coucher de soleil sur un fond désertique 8-Les émeus sur la route
1-2 Exemples de pancartes que l'on retrouve régulièrement sur le bord de la route 3-5 Lac salé désèché 6-Julie en préparation du souper 7-coucher de soleil sur un fond désertique 8-Les émeus sur la route
1-2 Exemples de pancartes que l'on retrouve régulièrement sur le bord de la route 3-5 Lac salé désèché 6-Julie en préparation du souper 7-coucher de soleil sur un fond désertique 8-Les émeus sur la route
1-2 Exemples de pancartes que l'on retrouve régulièrement sur le bord de la route 3-5 Lac salé désèché 6-Julie en préparation du souper 7-coucher de soleil sur un fond désertique 8-Les émeus sur la route
1-2 Exemples de pancartes que l'on retrouve régulièrement sur le bord de la route 3-5 Lac salé désèché 6-Julie en préparation du souper 7-coucher de soleil sur un fond désertique 8-Les émeus sur la route

1-2 Exemples de pancartes que l'on retrouve régulièrement sur le bord de la route 3-5 Lac salé désèché 6-Julie en préparation du souper 7-coucher de soleil sur un fond désertique 8-Les émeus sur la route

Le lendemain, nous avons donc poursuivi notre route jusqu'à Coober Pedy... paysage lunaire entouré de tas de roches excavés. Le bled offre un paysage de désolation qui nous a fait froid dans le dos. Malgré le plein soleil, la vue de ces maisons à moitié encastrées dans les montagnes, de ces commerces paraissant à l'abandon (pas d'entretien, poussiéreuses et soumis aux difficiles conditions du désert), l'agglomération fait peur. Dans les rues, des aborigènes à la peau très noires semblent avoir la vie dure et au beau milieu de la matinée, nombre d'entre eux semblaient malheureusement affectés par l'alcool. La police très présente dans la ville semble d'ailleurs exister en grande partie que pour eux. Nous ne nous sommes pas senties particulièrement bien à voir certains d'entre eux nous regarder hargneusement et les entendre nous crier dessus en nous suivant du regard. Mais bon, en se tenant à distance, ça allait.

Là-bas, nous avons visité un musée (sous la terre) présentant des explications sur la découverte des mines, les habitations typiques des anciens mineurs et des gens y demeurant toujours... (fascinant cet art de la vie sous la terre....). Notre guide, une charmante jeune femme, demeure d'ailleurs dans l'une de ces maisons. Nous avons déambuler par la suite dans plusieurs tunnels d'une mine pour finalement déboucher à l'air libre en fin de circuit. Nous avons beaucoup apprécié notre visite, particulièrement Josianne qui a toujours beaucoup apprécié les cavernes et les endroits souterrains. Avec les explications de la guide mentionnant que pour avoir une maison, il suffit de s'en creuser une, il n'en fallait pas plus pour que Jo tente de faire miroiter à Julie le filon d'opale.... Pourquoi pas ne pas acheter un petit lot à exploiter et se creuser une maison??!!!! Ne faut que louer la machinerie pour le faire!!!!! Ça serait superbe, se creuser tout plein de pièces!!!! Okkkk fini cette nouvelle lubie, Julie a fait les gros yeux et a affiché son air de « non, mais t'es pas sérieuse là!!!!! » et c'en était finie.... L'exploitation minière et la vie sous terre sera pour une prochaine vie! N'empêche... Il ne faut pas grand chose pour que la fièvre du filon d'opales nous prenne!

Le reste de la journée, nous avons déambulé dans les nombreuses boutiques de mineurs-bijoutiers à admirer ces pierres magnifiques... Au début, on était un peu incertaines à l'approche de boutiques qui ne semblaient pas être ouvertes... C'est qu'ici, les gens vivent dans la noirceur, n'ouvrant l'électricité que par ultime nécessité (celle-ci doit coûter extrêmement chère!!!). Ça nous a donc pris quelques boutiques avant de s'habituer à pénétrer dans des celles-ci tout plus obscures les unes que les autres. Au moins, les marchands ouvraient les lumières dès que nous passions le pas de la porte! Ça faisaitt un peu film d'horreur.... À la fin de la journée, nous nous sommes dirigées vers un camping underground avec des emplacements sous terre. Même si la chaleur, en ce temps de l'année, n'était pas étouffante, nous étions excitées de vivre l'expérience et souhaitions alors louer un terrain. Ce que nous avons fait.... pour nous faire rembourser quelques minutes plus tard, après avoir visité les lieux sombres, obscures et donnant la chair de poule! Au diable l'expérience, nous, on préfère de loin le ciel étoilé à cet endroit plutôt lugubre! Nous avons donc quitté la ville pour aller quelques kilomètres plus loin et là, tranquilles, nous nous sommes couchées dans une halte routière sous un autre ciel magnifiquement étoilé.... Il nous fallait bien dormir, car nous devions, le lendemain, refaire tout ce chemin en sens inverse (600 km) pour retrouver la civilisation... :)

Voilà donc pour notre dernier jour :) Nous sommes revenues plus près des côtes, à proximité de Port Lincoln avec, à notre bord, un collier serti d'une jolie petite opale, made in Coober Pedy, la capitale mondiale de l'opale!!!!:)

1-5 Ville de coober et ses maison sous terre 6-8 Musée sur la ville de Cooper sous terre 9-12 Aménagement d'une maison sous terre 13-16 Mine d'opal
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1-5 Ville de coober et ses maison sous terre 6-8 Musée sur la ville de Cooper sous terre 9-12 Aménagement d'une maison sous terre 13-16 Mine d'opal

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Publié dans Récit

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T
Agréable à lire les filles!!! Maman Thée
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J
Merci maman! Ca fait toujours plaisir de recevoir quelques mots des gens qu'on aime et qu'on apprécie.
L
Et puis les couleurs de la terre ressemblent pas mal à celles des Badlands Dakota !
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L
Vous êtes tellement drôles dans votre récit ! Et on le vit avec vous ! En t k j'aimerais beaucoup voir le collier avec cette opale qui viens de la terre en dessous de nous.... Elle doit être spéciale ! Quelle belle aventure ! Merci de me faire vivre ton voyage, Julie et bonne route !
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G
Jo, tu m'en parles si tu t'achètes un lopin de terre pour y creuser une maison! Ha! Ha! Ha! J'adore la photo de Jo qui marche sur le lac salé! Magnifique!
Répondre
J
Sur et certain... si on s'achète un lopin de terre, on vous invite et vous pourrez même vous creuser une chambre à votre goût!!!!! :P Sérieux... je pensais que ça serait beaucoup plus humide que ça dans les maisons, mais pas du tout!!!!! C'était super agréable!